Au CERS nous rassemblons et accompagnons tous les partenaires concernés dans l’élaboration et la réalisation de projets communs.
Un projet commun, c’est une production collective, une invitation à vivre ensemble une nouvelle aventure, à tisser de nouvelles relations. Nous sommes là pour le rendre possible.
« Pour donner sa chance au possible, il faut d’abord tenter l’impossible. » A. Levesque
Quelques principes
Ils se sont dégagés peu à peu, au cours de plus de 250 opérations en France et en Europe.
Pas de développement sans projet
Ce n’est pas le passé, quel qu’il soit, qui peut assurer l’avenir. C’est l’image, la projection de soi dans l’avenir, de ce qu’on pourrait ou voudrait être, qui par aspiration, provoque tout développement. Encore faut-il sortir de l’immédiat, introduire du futur, regarder plus loin et plus large.
Le global précède le sectoriel
On ne fait pas un plan de développement en additionnant des projets sectoriels. On obtient alors un total et non un global. Pour faire de bons projets sectoriels , il faut qu’ils s’inscrivent et se hiérarchisent par rapport à une vision globale, un but.
On existe par les autres
C’est le fondement même de la relation, elle fait exister deux parties, l’une par l’autre. On ne peut se définir un avenir à partir de soi seulement.
Un producteur existe par ses clients. Il répond à des besoins extérieurs à lui-même. Un projet n’a de chance de réussite que s’il suscite un autre jeu de relations avec d’autres clients ayant d’autres besoins.
On ne convainc jamais personnes
Il ne suffit pas de dire aux autres qu’il faut changer pour que cela se fasse. Informer n’est pas convaincre. Il faut donner aux autres les moyens de se convaincre eux-mêmes.
Nécessité d’un itinéraire
Cette mutation intérieure – tant des hommes que des structures – nécessite de s’engager, non dans une simple réflexion, mais dans un processus de décision.
Il ne peut se faire qu’en respectant un certain nombre d’étapes, logiquement enchaînés, qu’il faut franchir dans un certain ordre avec des techniques de travail adaptées à chacune.
Les structures sont des outils
Cette logique demande qu’on ne commence pas par la réforme des structures et de l’organisation interne. Celles ci sont des outils au service d’une certaine politique, d’une certaine stratégie –projet- qu’il s’agit de préciser en premier.
On ne coordonne personne
On ne coordonne pas des gens ou des structures en créant seulement un organisme de coordination.
En réalité, c’est le but commun, le projet qui coordonnent. Chacun se coordonne par rapport à ce but dont la réalisation conditionne la réussite de chacun.